[de l’arabe fallag: "pourfendeur de têtes", puis "bandit de grand chemin"] partisan tunisien ou algérien, soulevé (de 1952 à 1962) contre l'autorité française pour obtenir l'indépendance de son pays.
« La semaine dernière des fellaga ont attaqué des gardiens de la paix, à Paris, non pas parce qu’ils étaient musulmans comme eux, mais parce qu’ils étaient restés français. »