corsage brodé ou froncé, sans manches, et très montant, qui se porte sous une robe décolletée. Guimpe de tulle; guimpe tuyautée.
« Une jeune femme dont le châle glissait, découvrant une guimpe plissée à petits plis. »
robe à/en guimpe = robe à corsage montant.
« Vêtue d'une robe à guimpe de percaline rose à mille raies. »
p. anal.: poitrail d'un animal, gorge d'un oiseau.
« La plus charmante tourterelle que nous eussions vue; elle était blanche, sa guimpe semée de petites taches rouges et blanches, »
ornement de dentelle destiné à orner ou éventuellement à atténuer le décolleté d'une robe.
« La ciselure du tuyautage d'une guimpe cachant l'entre-deux des seins de la femme décolletée. »
pièce de toile blanche, encadrant le visage et couvrant le cou et la poitrine, qui fait encore partie du costume de certaines religieuses.
« La jolie figure de la religieuse est serrée dans une guimpe amidonnée. »